samedi 16 janvier 2016

Balaam

Le peuple d'Israel est toujours dans le désert. Il est sorti d'Egypte en direction du pays que Dieu lui a promis. La nuit une colonne de feu le guide, le jour c'est une nuée. Il est entièrement dépendant de Dieu.

Israel arrive dans la plaine de Moab. Il avait déjà demandé le droit de passage à d'autre peuple et avait même accepté un refus en faisant un détour. Mais la c'est Moab qui a peur et qui prend l'initiative. Le Roi de Moab Balak va alors consulté Balaam sur l'Euphrate. Il sait que celui que Balam bénis est béni et que celui qu'il maudit est maudit.

On voit ici la foi de Balak. Il croit en la puissance de la malédiction ou de la bénédiction. Ces deux mots veulent simplement dire : dire du mal et dire du bien. Notre bouche, nos paroles ont une puissance. Mais la parole de Balaam est particulièrment puissant. On ne peut pas faire le lien entre la puissance de la parole de Dieu. Quand il parle sa mains agit. Une seule parole suffit pour faire changer les choses.

Le texte nous dit que Balaam était un devin. Pourtant il dit qu'il consulte l'Eternel. Il ne réponds pas tout de suite. Il écoute Dieu. Dieu parle donc é Balaam et lui dit de ne pas maudir Israel car ce peuple est béni. Barak fait une deuxième tentative avec d'autres personnes plus importante et redemande à Balaam de maudir Israel qui refuse même pour de grosses sommes d'argent. De toute façon il avait conscience qu'il ne pouvait pas aller à l'encontre de l'ordre de l'Eternel.

Notre parole a un impact sur le cours de choses. La Parole de Dieu a un impact encore plus fort et efficace. C'est par sa Parole qu'il a créé le monde, C'est par sa parole qu'il guérit et qu'il change le cours des évènement. Balaam est ici juste son moyen d'agir, il est son prophète. 

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